|   Pour
                    conclure, CFTC
                    DGFiP 62 estime que l’avenir s’annonce des plus sombres
                    pour les fameux ministères " Non
                    prioritaires " dont, la DGFiP fait partie.  Suppressions d’emplois, manque de moyens matériels et
                    autres continueront à être à notre " menu
                    quotidien ", et nous devrons encore et toujours
                    " nous serrer la ceinture " | ... | L'effort
              d'économies demandé pour 2014 dans les lettres de cadrages aux
              ministères sera "un peu supérieur" au montant de 4
              milliards d'euro évoqué dans la presse ces derniers jours, a
              déclaré jeudi à des journalistes le ministre du Budget,
              Jérôme Cahuzac, à Bassens (Gironde). En
              réponse à une question sur les lettres de cadrage, adressée
              cette semaine aux ministères par Bercy, et qui pourraient
              demander un effort de l'ordre de 4 milliards d'euro, M. Cahuzac a
              répondu: "Les lettres de cadrage prévoiront un effort un
              peu supérieur au chiffre que vous venez d'évoquer". "Aucun
              ministre n'est prévu au menu de quiconque", a plaisanté le
              ministre lors d'une visite de la Direction interrégionale des
              Douanes près de Bordeaux, en réponse à une question sur la
              "sauce" à laquelle les ministères seraient mangés. "C'est
              l'ensemble du gouvernement qui va mettre en œuvre une politique décidée
              par le Premier ministre et le président, une politique qui
              prévoit en effet un vigoureux effort d'économie de la dépense
              publique en 2014, plus important encore qu'en 2013 qui pourtant
              est déjà une année d'un cru exceptionnel en matière de
              maîtrise de la dépense". Pour
              M. Cahuzac, il s'agit d'un effort "auquel notre pays ne peut
              hélas plus se soustraire, tant il est vrai que nous nous somme
              trop endettés ces 20-25 dernières années, et surtout ces 10
              dernières années: 900 milliards d'euro de dette de plus depuis
              2002, c'est beaucoup, c'est trop".
              
              
                   |  |  |